V. CHAUDUN
Parmi les molle ressources offertes par la nature et la maîtrise des horticulteurs, peu de genres offrent au jardinier et au paysagiste une telle brillance monochrome et une telle abondance de fleurettes que nos genêts.
V. CHAUDUN
Parmi les molle ressources offertes par la nature et la maîtrise des horticulteurs, peu de genres offrent au jardinier et au paysagiste une telle brillance monochrome et une telle abondance de fleurettes que nos genêts.
R. RUFFIER-LANCHE
Comme toute classification, celle des plantes peut se faire à partir de critères très variés. Depuis Linné, dont une grande partie du « système » a d’ailleurs été bien vite abandonnée comme trop artificielle, la systématique des végétaux se fonde essentiellement sur les caractères tirés de l’inflorescence ou de ce qui en tient lieu, car ces caractères, plus « intimes », sont considérés comme moins variables et moins soumis aux influences exterieures que ceux des autres organes de la plante.
La multiplication par semis des plantes dans nos rocailles peut se révéler quelquefois décevante, en ce qu’elle ne reproduit pas toujours exactement la plante désirée par l’amateur. En effet les espèces de certains genres comme des Dianthus ou les Aquilegia peuvent s’hybrider, le fait est bien connu des Sajistes. C’est pourquoi, pour obtenir la propagation d’un même clone, on a recours à d’autres procédés.